Caroline Néron parle du climat toxique qui régnait sur le plateau de Diva

« En fait, j'étais le plus petit rôle des mannequins quand je suis entrée dans la série pis le rôle d'année en année a grossi. Pis à la dernière année, c'est devenu le rôle principal des jeunes filles (...) Un moment donné, tu sens un peu la compétition féminine qui s'installe faque tsé, ça j'ai trouvé ça difficile. »

« On ne nomme pas de nom tsé ou whatever mais c'était ça. J'avais toutes les covers de magazines faque là c'était la question de pourquoi elle, elle a toutes les covers de magazines? Faque là je le voyais... je le sentais qui avait un... pis après ça, ça devenait des petites games. ''C'est la fête de la maquilleuse. On donne toute un cadeau en gang mais on le dit pas à Caroline.'' Faque là ils arrivent (en chantant) bonne fête... faque c'était toujours très subtil mais pour te faire mal (...) J'arrivais sur le plateau pis je braillais. Faque un moment donné j'ai comme pas eu le choix... j'ai faite ''faut que je lâche'' tsé. », a-t-elle confié à l'animateur, Jean-Philippe Dion.

« Mentalement, j'étais rendue épuisée de ne plus trouver la façon de connecter avec certaines actrices. », a précisé Caroline.