Voici les gagnants du 46e Gala de l'ADISQ
Crédit photo: Le canal auditif
Le 46e Gala de l'ADISQ s'est déroulé ce dimanche soir sur les ondes de Radio-Canada.
Durant la soirée, dix Félix ont été remis à des artistes qui se sont démarqués. Voici la liste des gagnants et gagnantes, telle que fournie sur le site Web de l'ADISQ:
Charlotte Cardin, Artiste de l'année - Rayonnement international
Elisapie, Artiste autochtone de l'année
Jean-François Pauzé, Auteur ou compositeur de l'année
Alexandra Stréliski, Album de l'année - Succès populaire
Alexandra Stréliski, Artiste féminine de l'année
Daniel Bélanger, Artiste masculin de l'année
La fin du show, Les Cowboys Fringants (Jean-François Pauzé),Chanson de l'année
Les Cowboys Fringants,Groupe ou duo de l'année
BARNEV, Révélation de l'année
À boire deboutte, Salebarbes, Spectacle de l'année
Elisapie, Artiste autochtone de l'année
Jean-François Pauzé, Auteur ou compositeur de l'année
Alexandra Stréliski, Album de l'année - Succès populaire
Alexandra Stréliski, Artiste féminine de l'année
Daniel Bélanger, Artiste masculin de l'année
La fin du show, Les Cowboys Fringants (Jean-François Pauzé),Chanson de l'année
Les Cowboys Fringants,Groupe ou duo de l'année
BARNEV, Révélation de l'année
À boire deboutte, Salebarbes, Spectacle de l'année
On félicite tous ces gagnants et gagnantes de l'ADISQ.
C'était Pierre-Yves Roy-Desmarais qui assurait l'animation de ce 46e gala dimanche soir. Si l'on se fie aux critiques, c'est mission accomplie pour l'humoriste. Du côté de Showbizz, on va jusqu'à dire que ce dernier a tout cassé. On souligne entre autres son monologue d'entrée, dans lequel il a écorché affectueusement quelques artistes comme Jay Scott et Roxane Bruneau.
Hugo Dumas, de La Presse, se garde une petite gêne quant à ses éloges, mais il dit tout de même avoir apprécié l'audace de l'animateur de la soirée:
« (...) le poids des comparaisons a joué contre lui, parce que l'humoriste de 30 ans a offert une prestation fort différente de celles de son légendaire prédécesseur, qui était moins cabotin et plus protocolaire, disons. Mais il fallait casser le moule de Louis-José Houde pour repartir à neuf et c'est ce qu'a proposé le talentueux Pierre-Yves Roy-Desmarais, en respectant son univers et ses influences, à mi-chemin entre celles de Jim Carrey et de Bo Burnham. Ce qui a été le plus déstabilisant dans l'animation de Pierre-Yves Roy-Desmarais, c'est le décalage entre les moments d'humour très physique qu'il affectionne (voir son hilarant Brian Manson dans Complètement Lycée) et la seconde suivante, où il reprenait son rôle de maître de cérémonie hyper sérieux. Nous ne sommes pas habitués à voir autant de grimaces et de faux sang dans un gala télévisé. »
Et vous, avez-vous aimé le Gala de l'ADISQ?
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