« Les tracteurs qui sont là, c'est tant par mois. Les assurances, c'est la même affaire, les immatriculations, une partie des salaires... Les gars chez moi travaillent quand même. On leur trouve de l'ouvrage, on fait d'autres choses. La seule affaire qu'on sauve, c'est le carburant.
Cette année, oui, peut-être qu'il va en rester un peu plus à la fin, c'est comme ça cette année, mais l'année prochaine, ça peut être complètement différent. Il y a deux ans, on l'a vécu: on est arrivés dans le négatif à la fin de l'hiver. »