« Je me rappelle d'une fois, il est 8 heures du matin, je suis comme dans un état épouvantable, dans un appart épouvantable avec des gens complètement dévastés (...) Un matin où ça fait, je ne sais pas combien de jours que je suis debout, il faut que j'aille faire une post-synchro et je ne suis plus capable de me tenir debout. Je n'ai plus de force. J'ai appelé mon agent, puis j'ai dit: "Écoute, il faut que tu me rentres quelque part, pis vite. Je ne suis plus capable d'arrêter, pis je ne suis plus capable de continuer" ».