Ce matin, un article a été publié dans La Presse, dans lequel nous pouvons voir plusieurs des dénonciatrices changer de discours en parlant de l'affaire, ou même regretter d'avoir témoigné :
Dans la nouvelle enquête faite par Isabelle Hachey de La Presse et Marie-Ève Tremblay du 98,5 FM, Rosalie ne donne pas la même version, elle semble même tempérer ses mots :
En 2020, sa gérante, Annie Parizeau, a corroboré son témoignage. Rosalie lui avait demandé de parler aux journalistes :
Mme Parizeau a continué en disant à la journaliste de La Presse :
Rosalie confirme qu'elle avait effectivement ce genre de relation avec Julien. Mais, elle appuie le fait qu'elle ne lui a pas touché les parties génitales, mais qu'elle donnait en fait des « coups ».
L'humoriste dit qu'elle a été claire avec Le Devoir à cette époque :
Elle dit aussi, qu'elle n'aurait jamais rien dit à propos de Julien Lacroix si l'ex de ce dernier, Geneviève Morin, n'avait pas brisé le silence en premier concernant son agression sexuelle alléguée.
Annie Parizeau se souvient que Rosalie lui demandait de refuser tout projet avec Julien, qu'elle soutenait le fait qu'elles allaient coincer celui-ci, qu'elle était persuadée que c'était un violeur et qu'un jour, la vérité allait éclater au grand jour.
Toujours selon la gérante de Rosalie, elle avait l'impression qu'il y avait une sorte de rivalité entre eux, au niveau professionnel. Leurs humours étant semblables, cela choquait Rosalie de voir son rival obtenir des contrats et non elle. La gérante ne va pas jusqu'à dire que Rosalie aurait dénoncé Julien par jalousie.
Rosalie Vaillancourt dit regretter d'avoir exposé certains faits de sa situation avec Julien au Devoir :
Elle ne se doutait pas non plus qu'elle aurait été si longtemps rattachée à ce scandale :
Source : Monde de Stars