« Ce n'est pas tant une question de frais qu'une question de charge de travail. Ça peut devenir très lourd, gérer des contrats UDA. Pourquoi s'attaquer à nous, alors que l'on paie déjà nos invités, même si on n'est pas subventionnés? Pendant ce temps, les gros joueurs des radios privées, qui ont beaucoup plus de moyens, ne paient même pas les artistes, eux », a dit le gérant de Mike Ward.