L'ex-conjoint d'Élisabeth Rioux, Bryan McCormick, qui avait été arrêté pour voies de fait sur celle-ci, est maintenant en liberté
C'est en juillet 2022 que Bryan McCormick a plaidé coupable et a dû faire six mois de prison pour voies de fait, menaces de mort et méfait envers son ex-conjointe et mère biologique de sa fille, l'influenceuse Élisabeth Rioux.
La Commission québécoise des libérations conditionnelles (CQLC) a expliqué qu'une demande de libération conditionnelle a été refusée, un mois après sa condamnation, car il n'a pas démontré de « sincère motivation à investir une réelle démarche de changement », a rapporté le site Internet Narcity.
Lors de son passage au populaire balado de Rémi Desgagné, Truth or Drink, Élisabeth a dévoilé que son ex-conjoint a été libéré depuis environ trois semaines déjà.
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Rémi a alors demandé si une garde partagée de Wolfie avec Bryan est envisageable et si elle a pris contact avec lui depuis sa sortie de prison:
« Non, on n'est pas en contact, on a un restraining order, donc on n'a pas le droit d'être en contact. Il vient juste de sortir de prison, c'est super récent. C'est pour ça que je ne post pas mes stories comme au moment, parce que je ne veux pas dire où je suis au moment même. Je ne dis pas qu'il ferait de quoi, mais j'ai tout le temps l'arrière-pensée. [Il est sorti ça fait] deux, trois semaines. [La garde partagée] ne serait pas possible » a répondu Élisabeth.
Elle a expliqué que depuis cette séparation, elle vit le deuil de ce qu'elle a imaginé d'une famille unie:
« Je sais que ça fait deux ans, mais je suis encore a un moment où je suis en acceptance que je ne vais pas avoir la famille unie et tout ça. Je ne sais pas si je vais être toujours de même ou si ça va passer à un moment donné. »
Pour les trois prochaines années de sa probation, Bryan McCormick va devoir s'abstenir de communiquer directement ou indirectement à Élisabeth et les membres de sa famille immédiate. Il ne va pas pouvoir non plus être en présence physique de celle-ci, ni la harceler, l'importuner, la molester ou l'épier, et ne pas faire référence directement ou encore indirectement à Élisabeth Rioux sur les réseaux sociaux.
Le site Narcity a contacté Bryan et la Commission québécoise des libérations conditionnelles pour en savoir plus sur sa libération. Pour l'instant, le site n'a obtenu aucune réponse.
À suivre.
Source: Narcity
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