« Mon homme, Karl Tremblay, notre Karl Tremblay, était une personne d'une bonté extrême. C'était quelqu'un qui pensait aux autres, qui était toujours de bonne humeur (...)
Karl ne s'empêchait jamais de verser une larme. C'est un homme sensible, qui se permettait de pleurer quand ça lui chantait de le faire. Il pleurait et versait des larmes surtout devant la beauté des choses. Devant le bonheur. Devant des gens heureux(...)
Les Cowboys, on habite L'Assomption depuis plusieurs années. Moi, j'en suis native. Karl veut, dans ses derniers souhaits, être enterré ici, parce que ça a été ses plus belles années, à L'Assomption. »