« Ce sont des hauts et des bas pendant longtemps. Parce qu'il y a des fois où tu te sens libéré, déchargé d'une pression terrible. Et puis, tout à coup, elle revient d'un coup et tu pèses 4 000 livres de plus sur tes épaules. Tu te dis que tu aurais dû le dire avant, que tu l'as mal dit. (...) J'avance, je veux regarder en avant. J'aime voir l'avenir avec des projets. C'est sûr que je regarde par en avant et je regarde rarement en arrière, mais force est d'admettre qu'une séparation, moi en tout cas, ça m'a fait regarder beaucoup en arrière. »