Julie Le Breton révèle avoir des difficultés à trouver l'amour en raison de son âge
Crédit photo: Instagram Julie Le Breton
La comédienne Julie Le Breton a fait des confidences sur sa vie amoureuse difficile lors de sa présence au podcast Tout le monde s'haït.
La talentueuse comédienne Julie Le Breton a participé au podcast Tout le monde s'haït et elle a saisi l'occasion pour discuter de plusieurs sujets dont les relations amoureuses, tel que le rapporte Hollywood PQ.
L'animatrice, Marylène Gendron a elle-même ouvert la discussion sur le sujet en mentionnant que, pour sa part, c'était les hommes plus âgés qui l'attiraient. Ce à quoi la comédienne a répondu.
« () Ces hommes-là qui sont avec des filles plus jeunes () Moi, ça me challenge vraiment beaucoup, que tous les gars de mon âge sont avec des filles beaucoup plus jeunes, donc après ça, c'est vraiment plus difficile pour moi de rencontrer des gars. Les gars ne veulent pas être avec moi, fin »
Cette dernière a par la suite expliqué qu'elle croit que les hommes qui ont eu des enfants et qui sont séparés sont souvent blessés et ils se valorisent dans le regard des filles plus jeunes.
« () Parce qu'ils ont été comme abîmés dans leur masculinité d'une certaine façon, dans une relation () ce regard ascendant là () »
Julie se demande s'il est encore réaliste de penser pouvoir être dans une relation du même âge.
« () Ça semble très, très difficile () après ça, je pensais beaucoup aux gars et j'étais comme: Mais, il y a des filles, ce sont ces filles-là, elles tripent sur ces gars-là aussi, c'est filles-là de 28 ans sont avec des gars de 50 ans »
Les propos de la comédienne ont interpellé l'animatrice qui est elle-même dans une relation avec un grand écart d'âge. Cette dernière a aussi ajouté que, de cette façon, elle cherchait à obtenir l'admiration de son partenaire.
Dans cette même entrevue, Julie a révélé que c'était lors de la pandémie qu'elle s'est aperçu de cette situation.
« () Avant la pandémie j'étais en couple () il y a eu la pandémie et je me suis encabanée, j'étais en burn-out, j'étais en peine d'amour () J'ai comme l'impression qu'avant la pandémie j'étais comme début quarantaine et je pouvais encore être un objet de désir () Je suis sortie de la pandémie et c'était terminé! () C'était comme, soudainement, tu es passée de l'autre bord () »
L'animateur lui a alors demandé comment elle en avait pris conscience.
« () C'est clair, ce n'est plus c'est bien niaiseux, ce n'est pas que je veux me promener dans la rue et me faire reluquer () mais, il n'y a plus cette affaire-là, il l'a, mais beaucoup moins, cette espèce de regard porté sur soi ou de une espèce d'attention particulière ou un juste de sentir la possibilité de la séduction c'est comme si pouf c'était disparu, comme une bulle qui avait éclatée et ç'a été vraiment challengeant () »
Bien que Julie n'ait jamais misé sur sa beauté, elle comprend aisément que certaines femmes qu'on a valorisée pour leurs esthétiques se sentent dépassées.
« () Tu peux comprendre qu'elles deviennent dingos et qu'elles se mettent à intervenir de façon très radicale, parce que c'est quand même violent () »
La comédienne a avoué avoir déjà eu recours au botox à un certain moment.
« J'ai eu du Botox dans le front, la fameuse parce que sinon j'avais tout le temps, tu sais, je suis super expressive, donc j'étais comme: J'ai tout le temps l'air d'être fâchée! Donc cette affaire-là, je l'ai calmée, je le calme parfois, si j'ai un tournage et tout () »
Julie a offert une entrevue honnête et a fait preuve d'une grande ouverture d'esprit. Nous saluons la franchise de la comédienne concernant des sujets aussi importants et tabous.
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