Dès leur arrivée le 4 mai, Sarah Sigston, 57 ans, son mari Jeremy, 53 ans, et leur fille Isabelle, 25 ans, ont été accueillis non pas par le luxe attendu, mais par une chambre qui trahissait les belles images vues en ligne.
Le choc initial s'est rapidement transformé en désagrément continu avec des repas en dessous de toute attente : viande sous-cuite, salades infestées d'insectes et une présence intrusive d'oiseaux au buffet.
Le cauchemar ne s'arrête pas là. Isabelle, atteinte de la maladie coeliaque, a été assurée avant le voyage que l'hôtel pouvait accommoder ses besoins spécifiques sans risque.
Pourtant, après avoir consommé un hamburger supposément sans gluten, elle a souffert de symptômes sévères, remettant en question les promesses de sécurité alimentaire de l'établissement.
Le bruit incessant autour de la piscine, dominé par une musique assourdissante, a ajouté une couche supplémentaire de frustration, sapant tout espoir de repos et de détente.
La situation a atteint un pic d'horreur lorsque, vers le huitième jour, la famille a découvert avec effroi la présence de vers dans leurs selles, symptôme alarmant qui a persisté jusqu'à leur retour au Royaume-Uni où un traitement médical urgent de trois jours a été nécessaire.
Face à ces épreuves, la famille Sigston a cherché à obtenir une indemnisation, mais s'est heurtée à un mur d'indifférence. L'agence de voyages a jugé insuffisantes les preuves reliant directement l'hôtel aux maladies subies.
Cette mésaventure soulève des questions cruciales sur la véracité des informations fournies par les établissements tout-inclus et la protection des consommateurs dans l'industrie du tourisme.
Les vacanciers sont encouragés à partager leurs expériences et à exiger une transparence accrue, afin que le rêve de vacances idylliques ne se transforme pas en un réveil brutal.
Crédit : IndependentFamily's Caribbean holiday nightmare with parasitic worms and ‘deafening' drum and bass