Malheureusement, la gestion de la crise a été médiocre, laissant le public chercher quelqu'un à blâmer sans que personne n'ose dénoncer les véritables responsables de l'organisation.
L'homme d'affaires, Olivier Primeau, a pris la parole pour exprimer son mécontentement envers les dirigeants de la SAAQ, allant jusqu'à leur proposer d'y travailler pour témoigner de la « catastrophe » qu'ils ont créée. Étant lui-même un habitué de la gestion d'entreprises, il n'a pas été impressionné par leur performance.