La Santé publique a décidé jeudi de dévoiler plus en détail une « nouvelle approche » pour aider la population et limiter les effets sur le réseau de la santé, comme dans le cas des urgences qui sont encore une fois sous le point de craquer à tout moment.
Selon le Dr Boileau, cette approche est « pleine de gros bon sens ». L'isolement de cinq jours en cas de la COVID-19 n'est plus obligatoire après des recommandations de la Santé publique et des Services sociaux. Malgré tout, si vous testez positif à la COVID-19, il est recommandé de porter le masque pendant dix jours, ce qui est la durée de contagions du virus.
La Santé publique demande tout de même de faire preuve de prudence et de s'isoler en cas d'apparition de symptômes de la COVID-19 comme une fièvre et des courbatures et même s'il ne s'agit pas du virus.
Dès que la personne se sentira mieux, elle pourra retourner à ses occupations habituelles tout en portant, bien sûr, le masque, jusqu'à la disparition totale des symptômes.
Une nouvelle « norme sociale »
Il a aussi été évoqué par la Santé publique de vouloir mettre en place une nouvelle « norme sociale » pour éviter une propagation incontrôlable des virus respirations auprès des personnes vulnérables.
La Santé publique rappelle que ce sont des recommandations et que ce n'est pas dans le but de revenir avec des obligations, comme durant l'état d'urgence sanitaire. La situation au Québec s'améliore et les autorités disent surveiller constamment l'arrivée de nouveaux variants.
L'arrivée des virus respiratoires, tels que l'influenza est ce qui inquiète surtout les autorités en ce moment, surtout avant la période des Fêtes. Elle recommande fortement aux personnes vulnérables de porter le masque dans les endroits publics.
Le Dr Boileau a alors dit ceci :
Selon leurs statistiques, il y a environ 500 000 personnes au Québec qui sont considérées comme à risque et dont leur vaccination pour la COVID-19 n'est pas à jour.
La Santé publique rappelle que le meilleur moyen de se protéger, mais surtout de protéger les autres est le vaccin.
Source : La Presse
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