Sophie Durocher déverse sa colère sur Radio-Canada à propos de La Petite Vie
La journaliste Sophie Durocher a fait sa place dans le monde des médias avec ses chroniques qui font hautement réagir le public. Elle ne passe pas par quatre chemins pour donner son avis, et cette fois-ci, c'est sur Radio-Canada qu'elle déverse sa colère à propos de La Petite Vie.
En effet, Radio-Canada annonçait que les épisodes de La Petite Vie sont disponibles sur sa plateforme payante l'Extra de Tou.tv, et qu'ils ne seraient diffusés sur Radio-Canada qu'en février 2024. Clairement, les téléspectateurs sont mécontents, et Sophie Durocher aussi!
Voici un extrait de ce qu'elle a écrit dans sa récente chronique intitulée Le « manque de classe » de Radio-Canada:
« J'ai écrit 1001 chroniques dans Le Journal de Montréal/Le Journal de Québec pour dénoncer le fait que la société d'État se moque de nous en nous chargeant pour du contenu qu'on a déjà payé avec nos impôts.
J'en ai écrit 1001 autres pour dire qu'au lieu de s'adresser à TOUS les Canadiens, comme le spécifie son mandat, Radio-Canada créait deux classes de citoyens: les payants ... et les autres.
En février de cette année, à propos des épisodes de Un gars, une fille qui étaient eux aussi diffusés d'abord sur l'EXTRA, j'écrivais ceci:
« En effet, vous financez déjà toutes les productions de Radio-Canada, par le biais de vos impôts et taxes, à même le financement fédéral de 1,5 milliard par année. Payer un abonnement pour avoir accès à une production que vous avez déjà financée, c'est l'équivalent de payer une première fois pour un gâteau à la pâtisserie et payer une deuxième fois pour avoir le droit de le manger. »
J'en ai écrit 1001 autres pour dire qu'au lieu de s'adresser à TOUS les Canadiens, comme le spécifie son mandat, Radio-Canada créait deux classes de citoyens: les payants ... et les autres.
En février de cette année, à propos des épisodes de Un gars, une fille qui étaient eux aussi diffusés d'abord sur l'EXTRA, j'écrivais ceci:
« En effet, vous financez déjà toutes les productions de Radio-Canada, par le biais de vos impôts et taxes, à même le financement fédéral de 1,5 milliard par année. Payer un abonnement pour avoir accès à une production que vous avez déjà financée, c'est l'équivalent de payer une première fois pour un gâteau à la pâtisserie et payer une deuxième fois pour avoir le droit de le manger. »
Vous pouvez lire l'intégralité de sa chronique concernant ce sujet ici.
Source: Monde de Stars
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